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Noces in africa

Noces in africa
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20 novembre 2006

Tropique du Capricorne, retour en France

Afrique_du_Sud_544Notre périple de 5 semaines prend fin, retour sur Windhoek par un pique nique sur le tropique du Capricorne.

On va une dernière fois sur Internet au backpakers' pour donner de nos nouvelles (on a régulièrement envoyé de nos nouvelles à notre entourage), on est content de rentrer, retrouver du confort et pourtant, on est si émerveillés, époustouflés, peut être même changés par ce beau voyage.

On a envie de repartir faire le tour du monde, mais avant, il y a un bébé qui arrive dans 6 mois, une aventure encore inconnue pour nous et qui nous prendra chaque jour qui passe de plus en plus de notre esprit....

On repart samedi3 décembre à 12 heures de Windhoek pour arriver à 12h dimanche 4 décembre à Viroflay (avion de Windhoek à Johannesburg, puis de Jo'Burg à Franckfort, puis Franckfort-Paris). Sacha, Guillaume et Christelle nous attendent avec des croissants, du chocolat chaud, un dimanche où on a l'impression qu'il fait nuit tellement la luminosité est faible par rapport aux 5 semaines que l'on a passé. Bref un dimanche de décembre...

Merci sincèrement pour ce cadeau de mariage, c'est là,dans nos têtes, nos coeurs et c'est inoubliable.

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20 novembre 2006

Le Namib, plus vieux désert géologique du monde, dunes les plus hautes du monde 2 décembre

Afrique_du_Sud_579Notre hôte nous prépare un p'tit dej délicieux à prendre sur les dunes du Sossusvlei,. Avant d’y arriver on a environ 220 km à parcourir, de pistes, rougeoyantes comme si on était sur Mars (bien qu’on ne soit jamais allés sur Mars). On croise des antilopes et gazelles en liberté, des nids d’oiseaux gigantesques, des rivières vides et asséchées. Arrivés à 60km des dunes, la station où on devait se réapprovisionner en essence n’en n’a plus et le pompiste nous dit qu’il y en aura peut être le lendemain.

On arrive aux dunes et c’est fantastique. C’est couleur paprika, c’est haut, chaud, immense, infini. On monte sur ces dunes couleur paprika, interminables, on croit qu’on arrive au sommet, et ce n’est jamais fini. On se pose, on est seul au monde, pas un bruit, le silence, le vrai, on se regarde tous les deux, on réalise qu’on est à un endroit presque magique, surnaturel, loin de tout ce qu’on a connu jusque là. Il fait chaud et l’écran total qui nous a accompagné depuis le début est limite pas assez fort tellement le soleil frappe.

Pour le retour, c’était encore une grosse frayeur, car le réservoir d’essence se vide…on ferme les vitres à 100km de l’arrivée au Lodge, on roule sans clim. L’eau dans notre bouteille de 5 litres est chaude comme du thé, on a rien à manger (la petite supérette n’avait plus rien à vendre à manger). Marina a faim et devient anxieuse, Cédric aussi. On a croisé seulement 2 personnes sur le retour, qui étaient sur une charrette tirée par un âne. Ce n’est pas à eux qu’on aurait pu demander un bidon d’essence. Mais pourquoi n’avait on pas prévu ça ???

On parvient sur la fin de la réserve à une station pour finir au lodge. Ca  nous a permis de relativiser toute situation « difficile » en occident depuis. Il y a des stations partout finalement en France !

20 novembre 2006

Isolés sur la route paysages magnifiques, du 29 Novembre au 1er décembre

Afrique_du_Sud_500Avant de quitter la côte océanique, on visite les dunes de  la Skeleton coast  par des routes de sel (limitation de la vitesse à 80km bien sûr). Dans les dunes, comme dans tout le pays, il y a des barrières, des clotûres, mais on se demande à quoi elles servent.

Pour aller au Namib, on loue une chambre dans un logde tenu par une française, qui a une propriété de  13000 hectares (il n’ y a que sa maison, quelques panneaux solaires et le petit lodge dessus).

Pour l’atteindre, on traverse d’autres paysages époustouflants. On se croirait dans les films, c’est inexplicable. Il n’ y a personne sur les routes et quand on double une voiture qui est arrêtée, on se dit « chouette, comme ça si on tombe en panne, il vont nous rattraper et nous sauver ». Et oui, c’est tous les quelques kilomètres que l’on voit ça et là des pneus éclatés…les stations d’essence sont très rares et celles qui sont indiquées comme « sûres » d’exister sur la carte ne sont pas forcément approvisionnées.

Le chemin pour arriver au lodge est innondé d’eau, si bien qu’on se demande si on n’était pas plutôt dans une rivière, en train d’inonder le moteur. Ona eu une grosse frayeur (pas de téléphone, dans une brousse paumée, loin du monde que l'on connait).

20 novembre 2006

En route pour la NAMIBIE 28 novembre

Afrique_du_Sud_465A l’aéroport du Cap, on apprend,d que notre vol est complet par ceux qui n’ont pas eu leur vol la veille. Alors au lieu d’atterir au bord de l’océan à Walvis Bay, on atterit à Windhoek, la capitale mais à 500 km de là où on a réservé une chambre. Arrivant en Namibie, on apprend qu’en fait Avis ne nous a pas réservé de voiture…la crise pour trouver une voiture dans un aéroport qui est à  40 km de la capitale. Finalement, on trouve une toute petite voiture, et on part direction Walvis Bay. C’est pas mal, on traverse le désert du Kalahari, par une des rares routes goudronnées C’est magnifique, il n’ y a personne, et les montagnes se succèdent à des grands plateaux.

20 novembre 2006

Le Cap de Bonne espérance

Afrique_du_Sud_354La péninscule du Cap est un parc naturel, payant comme tous les parcs d’Afrique du Sud, mais c’est pour la bonne cause. Cette péninscule est tout simplement MA-GNI-FI-QUE !!! Nous sommes allés à ce fameux Cap de Bonne espérance, et c’est un cap normal, mais dangeruex pour les navires.. Tout à coté se situe le Cape Point, qui lui culmine à 200 mètres de hauteur, les falaises sont un peu dangereuses, si on passe faire une dégustation de vin avant. L’eau est bleu turquoise, le rêve.

Nous sommes allés également faire un coucou aux pinguions, et oui il y en a en Afrique du Sud. Et puis on a pu faire une belle farniente de quelques heures sur la plage de rêve, sable blanc, mer turquoise, eau à 30°C, et pas un chat. On a croisé également quelques singes en liberté, à qui il est interdit de donner à manger (à ce qu’il parait, ils sont tellement intelligents, qu’ils sont capables d’ouvrir la portière, de donner un coup de poing au conducteur et de prendre la nourriture dans les sacs).

Et puis nous avons bien sûr fait beaucoup de balades en montagne, notamment sur la Table Montain ou Montagne de la Table, qui culmine à 1080 mètres et qui est entourée par la ville.

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20 novembre 2006

Robben Island le 24 novembre

Afrique_du_Sud_283Visite guidée à Robben Island, une île à  14 km du Cap, où était basée une prison avant. Nelson Mandela y a purgé une partie de sa peine, 17 ans. On a eu un témoignage d’un ancien détenu politique, et tout ça ne nous a pas donné envie de prendre des photos. On était mal à l’aise, alors que d’autres y voyait une attraction touristique seulement

20 novembre 2006

Camille s'appelait Tom, le 23 Novembre

IMG_5304Nous avions pris rendez vous de France par l’ambassade à l’hopital du Cap pour y faire une échographie. Et oui, en France, elle est obligatoire entre la 12ème et la 14ème semaine de grossesse, pas en Afrique. Ils étaient d’ailleurs étonnés que l’on doive faire cet examen alors que nous sommes tous les deux en bonne santé.. Bref ce fut un chouette moment, Cédric a vu pour la première fois notre futur petit bébé. Ce bébé dont on ne connaît pas le sexe mesure alors  5,3 centimètres.

Examen rassurant, tout va bien, et Marina a bien fait d’arrêter le traitement antipalludisme qui la rendait si malade.

Camille mesurant la taille d’un pouce (de Marina), on l’a appelé Tom (non, si on avait su à ce moment que c’était une fille, on ne l’aurait pas appelée Tomate).

Camillétait là, toujours présente malgré tous les kilomètres sur la piste et le voyage.

Au jour où nous écrivons cet article, Camille mesure 68cm, elle a bien poussé en un an !

20 novembre 2006

Le Cap (Cape Town) et ses environs (du 21 au 28 Novembre)

Afrique_du_Sud_242Enfin nous allons découvrir cette ville qui nous intrigue tant. Et nous ne seons pas déçus d’y rester toute la semaine. Bien que l’on ait oublié nos billets d’avions dans l’auberge précédente (200 km), tout se passe bien.

Q’avons-nous fait dans ce coin si cosmopolite ?

-        dégustation de vin rouge de la région  de Stellenbosh. Leur vin est très bon, on vous le conseille.Nous avons pu ramener 6 bouteilles.

-        Promenade au Waterfront, grand complexe touristique au bord de l’océan, à deux pas de notre belle auberge de jeunesse(on a pu voir des requins, toucher des étoiles de mer)

-        Promenade dans les quarties de la ville, dont Bo-Kamp, où toutes les maisons sont très colorées.

-        -bronzage sur les différentes plages que compte la ville. L’océan Atlantique est glacial malheureusement à cet endroit.

-        Coupe du monde de Beach volley homme, avec une finale relevée entre les suisses et les brésiliens.

-        Restaurants, dont le « moyo », l’un des meilleurs endroits où l’on ait mangé dans notre vie. On n’avait pas réservé, mais si ça avait été le cas, on aurait pu avoir une table dans les arbres. La déco est chouette, avec des brazzéros, des tentes, des tables en fer forgé. Pour la nourriture, que dire ? Tous nos amis rameurs seraient verts de voir le buffet de presque 100 mètresde longueur, …à volonté ( toutes viandes, poissons, cristacés, fromages, bon pas top pour le fromage, dessert, entrée…miamà.. On s’est même fait peindre le visage pendant l’apéro, et pu discuter avec une vendeuse Xhosas .

Pour le reste, on fera des articles à part.

19 novembre 2006

La baie des baleines, Hermanus, le 20 Novembre

Hermanus est une petite ville, mais très connue pour  le passage des balaines de Mai à Novembre dans la baie, car elle viennent mettre bas.

Ainsi on peut même en apercevoir depuis le bord. Sur les différentes plages de la ville, se promène un « crieur de baleines », qui porte une pancarte sur lui. Dessus il, y a les inscriptions en morse correspondant aux différentes plages. Quand quelqu’un voit des baleines sur une des plages, alors il souffle le code en morse dans sa corne de brume pour informer toute la population de l’endroit où une baleine est potentiellement visible.

C’est comme ça que nous avons vu une baleine, à 100 mètres du bord, faire ses petites courbettes, lâcher de l’eau et s’éloigner. Aussi ridicule que ça puisse paraître, nous avons ressenti une grande émotion à voir l’un des plus grands mammifères marins de notre planète, en vrai, devant nous. La nécessité de protéger les espèces et plus globalement de faire attention à son environnement a pris encore plus de sens : c’est  devenu évident, mais on ne saurait expliquer pourquoi à voir la baleine cette prise de conscience est devenue si claire.

17 novembre 2006

Le Cap Aghulas, le point le plus au sud du continent (19 Novembre)

Afrique_du_Sud_213Afrique_du_Sud_214Nous avons eu la chance d’aller là où se côtoient les deux océans, Indien et Atlantique. Non, il n’ y a pas de péage à la frontière de ces mers. La côte est magnifique, rocailleuse, accidentée. Les plages par là bas, sont désertes, non pas que des requins puissent roder, mais parce que ce n’est pas encore les grandes vacances. Tant mieux, le sable blanc, le bleu turquoise, c’est pour nous.

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